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A PRENDRE EN COMPTE
A prendre en compte dans toute relation Humaine pour commencer à en être conscient et le vivre mieux sans mots qui pourraient devenir des maux
Ce n’est pas parce qu’on se sent puissamment attiré par quelqu’un ou quelque chose que c’est pour les bonnes raisons… Il y a quelques années, j’ai eu une sorte de coup de foudre pour une femme que j’ai rencontrée dans le contexte professionnel. Dès qu’elle est entrée dans la pièce et que je l’ai vue, j’ai senti un vortex m’aspirer vers elle, comme si une force invisible me tirait. À cause de cela, et du sentiment de familiarité que je sentais en sa présence (et aussi de ses belles qualités que je croyais voir, bien sûr), j’en ai déduit sans autre réflexion que je devais et voulais former un couple avec elle. Et nous nous sommes fréquentés, effectivement, la suite est une autre histoire. Or, bien qu’il ne se soit rien passé de dramatique, j’ai rapidement constaté que ce n’était pas du tout une personne pour moi. En fait, j’aurai pu le constater dès le début, mais le «coup de foudre» me semblait plus important que les constations de sa fragilité que l’on ne veut pas voir au début de toute relation , quelle qu’elle soit d’ailleurs, de plus , les courbes de cette femme auxquelles aucun homme n’aurait pu résister m’ont facilement piégé . J’étais perplexe, et surpris. Après tout, j’avais senti cet appel si fort. Comment était-ce possible? Oui, j’avais surtout ressenti ses manques, et, les miens, mais moi en grand sauveur de cette pauvre femme si fragile, je l’avais mis sur le compte de L’amour = (intention). Belle illusion que ce mot qui est mis à toutes les sauces, et je me référais à l’idéal du couple parfait que je voulais former car j’avais de grande théorie sur le sujet (j’étais thérapeute, et je pensais tout savoir sur la vie, mais là, j’ai vite appris le contraire et j’avais trouvé la bonne personne pour faire du développement personnel 24/24, j’avais même du travail à la maison le soir (rire)
Quand j’ai parlé à mon enseignent de l’époque de mes euphories conjugales, j’ai vite vu dans son regard qu’il ’allait me dire quelque chose de fort. Il m’a posé une question que je n’avais même jamais considérée, et je l’ai trouvée pertinente :
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