•  

    le plaisir féminin

     
     
     
     
     
    Vous vous pensiez calée sur 
    et pontifiiez allègrement sur orgasme vaginal et orgasme clitoridien. Vous êtes dépassée. Des orgasmes il n'en existe pas moins de sept différents. Notre experte Sophie Bramly nous éclaire
     
    A lire aussi
      
     


    Dans un monde où les orgasmes de la femme n'ont longtemps été disséqués que par les hommes, il a longtemps été acquis pour tous et presque toutes, que les femmes ont deux types d'orgasmes : le clitoridien que Freud jugeait « infantile » et le « vaginal », qui conserve aujourd'hui encore tous ses titres de noblesse. De plus en plus de femmes, gynécologues ou sexologues en particulier, tentent de mieux définir les orgasmes féminins, mais le travail d'Annie Sprinkle, ancienne actrice porno, aujourd'hui sexologue et auteure de nombreux livres, semble le plus… épanouissant.

    Les premiers travaux qu'elle a faits ont porté sur son propre corps. Avoir eu un grand nombre d'amants lui a permis de réaliser que les
    orgasmes étaient d'abord fonction des rencontres (chaque partenaire vient avec son histoire, ses goûts et ses limites) et d'expériences aussi multiples et variées que possible. Pour elle, les orgasmes sont comme les grains de sable : il n'y en a pas deux qui sont identiques.

    Sa réflexion est partie des orgasmes que les femmes ont pendant leur sommeil sans aucune stimulation autre que cérébrale, et des différentes formes qu'ils peuvent y prendre (on rêve d'avoir un orgasme sans l'avoir, d'autres fois en l'ayant, quelques fois avec de fortes contractions vaginales et/ou anales, enfin, simplement en ayant une vessie très remplie). S'ils peuvent être aussi variés dans le sommeil, il doit en être de même éveillée.

    Effectivement, certains orgasmes éveillés sont très subtils et peuvent arriver dans toutes sortes de conditions, notamment par la pensée, sans stimulations physiques. Pour elle, on peut, en se concentrant, obtenir des orgasmes, et au contraire ne pas les percevoir sans une attention particulière. Ces « micro-orgasmes » peuvent aussi bien intervenir pendant un
    massage, lors d'une caresse sans intentions érotiques, etc. Beverly Whipple et Gina Ogden, des scientifiques qui ont beaucoup publié sur le point G, ont fait des tests dans leur laboratoire pour savoir si les femmes pouvaient avoir des orgasmes simplement en y pensant, et non seulement les tests se sont révélés positifs, mais elles ont constaté que certaines femmes pouvaient avoir des orgasmes très satisfaisants, sans qu'il y ait les contractions caractéristiques de l'orgasme.

    Les orgasmes vaginaux ont aussi de multiples formes, en fonction de la partie du vagin qui est sollicitée, et la façon dont il est pénétré (doigts, poings, pénis, godemichés ou
    sex-toys…). Ils peuvent être délicats, modérés, violents, quoique souvent moins que les orgasmes clitoridiens, que certaines féministes estiment supérieurs parce que souvent plus puissants.

    D'autres orgasmes reposent sur des techniques poussées de respiration, telles qu'enseignées par le tantrisme et ils peuvent prendre de multiples formes selon les exercices et les enseignements. Enfin, il existe aussi des orgasmes qui arrivent en pratiquant certains
    sports, en écoutant de la musique, en contractant les muscles pubo-coccygien, en riant, en toussant… Le point commun de tous ces orgasmes étant l'accélération de la respiration, du rythme cardiaque, de la chaleur du corps, etc.

    L'orgasme clitoridien est probablement celui sur lequel tout le monde s'accorde, car il est le plus facile à identifier. Quelle que soit l'intensité de cet orgasme, il y a une tension musculaire, des contractions vaginales et une expulsion d'énergie, une durée variable de quelques secondes à quelques minutes.

    Non seulement les orgasmes féminins prennent un nombre pléthorique de formes, mais la femme n'est pas limitée à un seul type d'orgasme à la fois. Elle peut tout à fait en avoir plusieurs différents en même temps ou de façon très rapprochée. Certaines femmes, rares celles-là, peuvent avoir ce que Annie Sprinkle appelle les « Megagasms », une sorte d'expérience émotionnelle et physique, qui prend tout le corps, et peut durer de quelques secondes à quelques heures. Ils sont assez difficiles à obtenir à moins de savoir solliciter de nombreuses
    zones érogènes à la fois, d'être capable d'un abandon absolu et d'une intensité de sensations presque violente, quelquefois accompagnée de visions psychédéliques.

    Le problème de nombre de femmes qui pensent ne pas avoir d'orgasmes ou ne pas avoir les « bons » orgasmes, vient avant tout de ce que la définition classique se limite à celle des orgasmes clitoridiens, plus faciles à identifier. Comprendre qu'il existe en réalité de nombreuses formes d'orgasmes féminins, à intensités variables, doit permettre d'abandonner la quête d'un Graal, pour se laisser aller aux multiples formes de cette merveilleuse jouissance qui est naturellement en soi..........................................a suivre


    votre commentaire
  •  

    les scientifiques constatent

         Et si l'humanité était en train de basculer vraiment dans l'imbécillité, comme l'imaginait en 2006 la cruelle fiction de Mike Judge "Idiocracy" ? Depuis vingt ans, les scientifiques constatent avec inquiétude que les capacités intellectuelles ne cessent de diminuer à l'échelle mondiale. Une baisse du QI a été observée dans plusieurs pays occidentaux. À cela s'ajoute une explosion des cas d'autisme et des troubles du comportement. En cause : les perturbateurs endocriniens, ces molécules chimiques qui bouleversent le fonctionnement de la thyroïde, essentielle au développement cérébral du fœtus. Présentes dans les pesticides, les cosmétiques, les mousses de canapé ou encore les plastiques, ces particules ont envahi notre quotidien : nous baignons dans une véritable soupe chimique           https://youtu.be/oJ3TvMTI2lk  

    IDIOCRACY - film complet en français

      https://youtu.be/uTzAoML3GKs

    votre commentaire
  • AMOUR

    AMOUR CONJUGAL OU AMOUR

     

    DIVIN http://lapressegalactique.com/2016/09/22/amour-conjugal-ou-amour-divin

     

     

    Je choisis d’aimer sans souffrir 

     

    http://www.arcturius.org/chroniques/je-choisis-daimer-sans-souffrir/

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

    Enseignement reçu par la vibration du Cœur de plusieurs de mes guides invisibles.

    1. Quelle est la nature réelle de la colère ?

    La colère est une énergie particulière qui se mêle au champ de toutes les émotions humaines. Elle a ce petit quelque chose qui la rend distincte et donc unique. Elle est foudroyante. Elle est capable de terrasser toutes les autres vibrations pour prendre leur place. Habituellement, vous êtes un condensé de plusieurs émotions qui s'entremêlent dans telle ou telle situation. Mais avec la colère, ce n'est pas ainsi. La véritable colère prend TOUTE la place. Il n'y a plus qu'elle. Elle est pleine et entière. Vous cessez d'être un être complexe pour devenir un être monophasé sur une seule vibration, celle de la vérité divine. Elle vous enseigne la plénitude émotionnelle. Il n'y a plus de TEMPS ou d'ESPACE, elle EST et vous êtes au travers d'elle. Elle ne peut être qualifiée de passion puisqu'elle est hors du champ de l'homme. Elle est pure création divine.

    La Colère est grâce et non pas passion.

    2. Est-ce bon ou mauvais d'éprouver de la colère ?

    Paradoxalement, il y a du bon dans ces expériences de colère. Certes, les dégâts collatéraux et les projections blessantes sur autrui peuvent être désastreux. Il y a cependant un enseignement pour soi. Elle vous rend VIVANT. Vous cessez d'être apathique et de rendre votre pouvoir à autrui. Elle est le succédané d'un appel à retrouver votre souveraineté. On pourrait la juger comme un outil maladroit pour se réclamer à soi. Elle est un électrochoc salvateur. Si vous éprouvez de la colère, c'est que vous n'êtes pas complètement mort dans votre part de conscience incarnée. Vous n'êtes plus dans la crainte du paraître, de l'illusion de ce que vous voulez montrer aux autres. Vous ne pensez pas aux conséquences futures. Vous oubliez le poids du passé. Vous êtes pleinement dans le présent, ce qui ne vous arrive presque... jamais.

    La colère induit les manifestations des dysfonctionnements de votre structure interne. Il y a des mises en situation externe qui appuient sur les rigidités intérieures. La colère met en lumière l'incapacité de votre être à s'adapter à la situation qui lui est présentée. Des mécanismes d'auto-défense puissants tentent d'éviter la souffrance latente que la situation va réveiller en vous. Tout cela est véridique et généralement bien compris par ceux qui s'intéressent à cette thématique. Mais vous occultez l'aspect salvateur de l'énergie colère. Sans elle, vous ne sauriez pas quoi travailler en vous. Sans elle, vous continueriez votre chute, vers toujours plus d'affliction de vous-même, vers toujours plus de subordination à autrui et à votre environnement.

    Bien qu'elle prenne une coloration propre à la dualité, elle n'est pas le pendant négatif de la Paix en soi. La Paix est une vertu universelle qui est au-delà de votre densité vibratoire marquée par la dualité bien-mal. Il y a la Paix et l'absence de Paix en soi, c'est tout. La colère est un pouvoir de votre âme en votre égo. L'égo tout puissant, qui dirige tous les aspects de votre vie, n'est pas un sous-produit de votre être. Il est vous à part entière et parfaitement connecté avec votre divinité intérieure même s'il agit en prétendu souverain. Votre âme est en lui. Et la colère en est une des manifestations.

    La Colère est à l'égo ce que la Paix est à votre Cœur,
    deux armes divines au Service de votre retour à Dieu.

    3. Y a-t-il un lien entre la colère et notre génétique ?

    Oui, il y a un lien entre ressentir cette énergie et votre héritage génétique. Vous portez tous une mosaïque de dons mais aussi d'ingérences dans votre génome. Celui-ci reflète les parts d'ombre et de lumière de chacun de ces donneurs. Au commencement, le véhicule d'incarnation que constitue le corps humain devait accueillir de jeunes âmes naissantes mais aussi des âmes matures issues d'autres contrées stellaires. Pour ces dernières, il fallait une compatibilité à un niveau vibratoire très complexe. Il a fallu procéder à un savant mélange mais surtout dosage d'apports de matériel génétique. Tout ce matériel ne se voit pas forcément sur le plan physique par vos chercheurs.

    Au fur et à mesure du déroulement de l'expérience humaine, les maitres généticiens se sont montrés de plus en plus ambitieux dans les objectifs à accomplir. Ils se sont enhardis pour essayer de résoudre de vieux conflits stellaires en faisant coexister des patrimoines génétiques antagonistes. En portant l'empreinte vibratoire de deux races qui sont incapables de se comprendre, vous expérimentez la possibilité de les faire se côtoyer et exister en harmonie. Cela ne va pas sans heurt. Et vos petits conflits au quotidien se révèlent avoir de grandes conséquences à une échelle qui vous dépasse. Vous jouez une pièce de théâtre dans votre vie quotidienne. En activant inconsciemment ces héritages génétiques qui semblaient inconciliables, vous effectuez quelque chose de magique. Vous créez des ponts à votre niveau, qui vont créer des ponts à des niveaux bien plus grands. Et la colère dans tout ça ? C'est la révélation de ce conflit qui se délocalise localement en votre être, en votre petite pièce de théâtre du quotidien terrestre. La colère est un trait bien plus commun à tous les peuples humains que n'importe quelle autre caractéristique car elle est insufflée équitablement par la Source divine.

    Si la Colère est bien un outil divin, elle est aussi un écho de votre grande mission d'âme, celle de réconcilier ce qui n'a jamais réussi encore à se concilier dans l'univers.

    Ici pour découvrir la suite sur les faces cachées de la Colère.

    Auteur

    • Samuel

     


    votre commentaire
  • Les limitations et les liens que nous pouvons croiser sur notre route sont souvent imposés par nous-mêmes. La frustration que cela nous cause et le fait de ne pas vouloir prendre conscience de la réalité se manifeste sous la forme de critique à l’égard des autres.

    Mais pourquoi voudrions-nous nous ralentir nous-même ? Par peur, mais surtout eu égard à toutes les croyances auxquelles nous sommes tant attachés et pour lesquelles nous n’avons jamais voulu ou su nous interroger. Cependant, tout cela se répercute dans notre vie quotidienne sous la forme de problèmes. La solution à ces derniers se trouve en nous.


    Chaque fois que vous critiquez quelqu’un, demandez-vous : ce que je vois chez cette personne, l’ai-je aussi ?

    La parabole des deux moines

    Voyons à présent les limitations que nous nous imposons grâce à la parabole des deux moines. Cette parabole offre un enseignement très profond et nous permet de percevoir d’un regard nouveau toutes les critiques que nous pouvons faire aux autres.

    « Il était une fois deux moines zen, Tanzan et Ekido, qui revenaient à leur monastère après un long voyage. Il avait plu le jour précédent, rendant la route boueuse. Lorsqu’ils passent près d’un petit village, ils trouvèrent une jeune femme vêtue d’un splendide kimono doré.

    Pour continuer son voyage, la jeune femme devait traverser une énorme flaque d’eau. Face à cet obstacle, elle resta paralysée en pensant que si elle souillait son kimono, elle le ruinerait et sa mère la réprimanderait. Sans hésiter une seconde, Tanzan s’approcha de la jeune femme et lui offrit son aide : il la porta sur le dos de l’autre côté de la route. Ensuite, les deux moines poursuivirent leur chemin.

    Lorsqu’ils arrivèrent au monastère, Ekido, qui avait été mal à l’aise pendant le reste du voyage, reprocha sévèrement à son compagnon :

    « Pourquoi as-tu pris cette fille dans les bras ? » Tu sais que nos vœux l’interdisent !

    Tanzan n’en fut pas troublé, il regarda son compagnon de voyage et répondit avec un sourire :

    « J’ai porté cette fille il y a de cela quelques heures, mais toi tu la porteras pour toujours sur ton dos ».


    « Justifiez vos limites et vous restez en elles. »

    -Richard Bach-


    couple dans un champ

    Cette parabole nous permet de nous rendre compte que même si Tanzan a réalisé une bonne action, le sens du devoir et tout ce qui leur avait été enseigné pesait davantage sur son partenaire, Ekido. Cependant, comme on peut le voir, il ne lui a rien dit ce qu’il pensait avant un long moment.

    Cela nous permet de réfléchir aux liens que cela peut avoir avec les pensées que nous ressassons. Ces pensées que nous tournons encore et toujours dans notre esprit et qui, en définitive, ne nous apportent rien de productif. La critique d’Ekido était la manifestation d’un conflit présent dans son esprit, conflit dans lequel il s’était lui-même limité, alors qu’en premier lieu il a certainement pensé lui aussi venir en aide à la fille.

    Les grands enseignements pour se débarrasser de nos limitations

    Avez-vous déjà critiqué quelqu’un qui n’était pas habillé correctement ? Certainement qu’une partie de vous souhaiterait également ne pas l’avoir fait car, peut-être, ne vous sentez-vous pas à l’aise avec les vêtements que vous portez. Parfois, nous ne réalisons pas que nos critiques reflètent une limitation que nous nous sommes imposé. Parce que malgré les règles déterminant ce qui est ou non « acceptable », nous disposons toujours du dernier mot.

    Pour nous débarrasser des limitations et, de fait, commencer à voir la critique comme une manière de percevoir certaines parties de nous-mêmes que nous ne sommes pas capable de percevoir au premier abord, il est important de penser au présent. Si nous souhaitons faire quelque chose ou agir d’une certaine manière, il ne faut pas se préoccuper de savoir si cela sera bien, si l’on nous regarde mal ou tout autres doutes du même ordre.

    femme sur une balançoire

    Agissons, puis détachons-nous de la situation, comme a pu le faire Tanzan. Parce que si nous ne cessons d’écouter nos propres limitations, nous finirons par porter un poids inutile. Par ailleurs, nous ne pouvons pas oublier que ce poids augmentera à mesure que des situations similaires se produiront.

    Il est également important d’apprendre à remettre en question nos croyances. Nous pensons parfois que suivre à la lettres certaines normes nous rend meilleur-e. Néanmoins, les actes ont plus d’importance. Des croyances très rigides nous empêcheront d’être libre pour agir tel que le suppose une situation donnée. Nous créerons des barrières, nous nous limiterons nous- même et, en conséquence, nous ne nous sentirons pas bien.


    Arrêtez de vous poser des questions telles que : « Dois-je le faire ou puis-je le faire ? » Commencez à donner la priorité à la question suivante : « est-ce que je veux le faire ? »

    Les croyances sont faites pour être remise en cause, les critiques servent à nous aider à voir dans les autres certaines parties de nous-mêmes que nous ne connaissons pas. Il ne s’agit pas d’une occasion pour nier ce que nous ne voulons pas accepter, mais d’apprendre et de mûrir. Nous avons tou-te-s des limitations, mais nous nous sommes imposé-e-s beaucoup d’entres elles. Nous restons trop souvent sur nos positions au lieu d’agir tel que nous souhaitons le faire sur le moment .
     

    °°°°°°°°°°°°°
    Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
    qu'il ne soit pas coupé
    qu'il n'y ait aucune modification de contenu
    que vous fassiez référence au site Source
    Partagé par les Chroniques d'Arcturius 

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique