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    libérer du pessimisme 

    Pour les stressés à fort caractère 

    Par Corinne Vidor / shelvene.com 

    De la nécessité de se libérer du pessimisme

    Il est plus facile d’être pessimiste qu’optimiste 

    Quand on est d’une nature anxieuse ou stressée, le pessimisme c’est un peu le formatage habituel d’une journée. Les râleurs aiment râler alors qu’ils cherchent la paix, les anxieux déversent facilement leur mal-être sans se prendre réellement en main, les autoritaires s’emprisonnent dans le contrôle, les personnes en sous-estime s’emploient à se sentir considérées et en deviennent prétentieuses, les peureux sont agressifs… La liste est longue.

    On a tous un travers qu’on essaie de bien cacher par une manœuvre inverse dans laquelle

    on finit malheureusement par s’enkyster, sans s’en apercevoir, ni s’en libérer. Ce n’est pas en exprimant notre travers avec insistance aux autres qu’on arrive à se sentir mieux, au contraire ! On le cultive. 

    Comment s’en défaire ? On peut avoir la chance de naître optimiste ; sinon, il faudra apprendre à le devenir. Pourquoi ?

    Se défaire du pessimisme pour être LIBRE ! 

    Il ne s’agit pas de voir la vie avec des lunettes roses et d’écouter gazouiller les oiseaux. Inquiétude face à l'avenirNon, il ne faut pas confondre être optimiste et « illuminé » ! Il s’agit de se sentir libre.

    Le pessimisme est un germe qui a pris place progressivement, lorsqu’un travers n’a pas été combattu mais nourri au contraire. Un travers qui a pris le pas sur notre vraie nature sereine. 

    Par exemple : le jaloux a laissé faire sa jalousie, si bien qu’il en devient paranoïaque. Le rêveur n’a pas lutté contre l’inertie : il est devenu peureux. Le colérique n’a pas combattu son sentiment permanent d’injustice et est devenu autoritaire. Ce ne sont que des exemples isolés, mais de manière générale, quand on n’arrive plus à sortir de ses torpeurs (d’origines diverses), alors on « bloque »  sur la l’incompréhension des choses et l’on finit par croire que la compréhension pourra rétablir la libération. Mais non, c’est faux !

    De la nécessité de combattre le pessimisme

    La libération ne vient pas en atteignant une forme de compréhension, mais bel et bien en combattant son ou ses travers ! 

     

    Les pessimistes ne trouvent pas de solution à leurs problématiques, alors ils colorent tout en noir. Ce blocage très handicapant émotionnellement, les empêche de saisir des opportunités pour se sentir libres. Ils se replient dans le fatalisme et manquent de faculté d’adaptation et d’imagination créatrice, ouvrant la porte à l’aigreur et fermant la porte à l’espoir.

    L’espoir, c’est la Vie ! 

    Il n’est pas question de persuader un pessimiste de changer sa nature. C’est son choix. Mais il est question de regarder en face comment vivre ensemble et participer au mieux-être de notre communauté. Et de comprendre que les pessimistes sont toxiques pour eux-mêmes et peuvent aussi être toxiques pour les autres. 

    Tout est énergie 

    Le pessimiste pollue (malgré lui), parce qu’il critique, se plaint, parce qu’il est cynique et se ronge de l’intérieur. Il ne voit pas la différence entre recevoir une information et vivre cette information. En la vivant, il la rend réelle et la transmet aux autres. Il pompe littéralement l’énergie des autres, sans savoir comment se recharger seul.

    On peut se défaire de nos habitudes, même celles prises tout petit, mais encore faut-il le vouloir !

     


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    Jusqu'aux balbutiements de votre vie sexuelle, Andromaque, n'était pour vous que la tragédie de Racine, que votre prof de français vous avait obligée à lire en 3èmeC. Puis vint la première fois où vous êtes passée "au-dessus". Vous avez alors exercé, peut-être sans le savoir, la fameuse position sexuelle de l'Andromaque. Que vous soyez rodée à l'exercice ou encore frileuse à l'idée d'être au-dessus de l'homme au lit, bienvenue dans ce petit précis d'une position Andromaque réussie.

    L'Andromaque fait partie de ce qu'on pourrait appeler (si on osait) la Trinité de l'amour : femme au-dessous, femme au-dessus, femme devant. En ce sens, il s'agit d'une position sexuelle incontournable, pour ne pas dire classique 

    Cela dit, on ne va pas se mentir, ce n'est pas une position facile. Non seulement elle fait mal aux jambes (toi-même tu sais), mais surtout, elle ne laisse pas de place à la pudeur dans le couple. C'est une position qui nous met à nu, dans tous les sens du terme. 

    On y mène la danse, on s'y exhibe dans notre plus simple appareil, tous les projecteurs sont sur nous, et pour peu qu'une de nos premières fois ait été agrémentée d'un "c'est nul" ou d'un "vas-y on change" (true story), alors l'Andromaque devient la position paralysante par excellence.  

    Mais ça, c'était avant. Préparez-vous à faire de la position de l'Andromaque un havre de plaisir et de confort. 

    L'Andromaque, quand la femme est sur l’homme  

    L'Andromaque tient son nom du poète latin Martial, qui raconte, dans le livre XI de ses Épigrammes, que "les esclaves phrygiens s'amusaient solitairement derrière la porte, quand l'épouse d'Hector chevauchait son mari". L'épouse d'Hector, dans la mythologie grecque, c'est Andromaque (si vous ne vous en souvenez pas, vous ne méritez pas votre Bac de français).  

    L'Andromaque, incarnation de la liberté féminine au lit 

    La position Andromaque consiste donc en une position de chevauchement (d'ailleurs, les anglo-saxons l'appellent la position de la cow-girl). La femme est au-dessus, au niveau du pénis (of course) et face à l'homme, qui est allongé en-dessous. 

    Et hop, on renverse la crêpe et les rôles, par la même occasion. Loin du missionnaire où il faut éééétirer les bras le pluuus possible pour administrer une fessée de petite envergure ou pour titiller ses testicules, l'Andromaque est l'incarnation de la liberté féminine au lit.

    On y fait ce qu'on veut, au rythme qu'on veut. Pas de "plus vite" ou de "moins vite" qui tienne. En plus, l'Andromaque permet à la fois une stimulation vaginale et clitoridienne. Royal ! 

    Comme Daenerys, vous doutez encore que votre Khal Drogo à vous apprécie que vous soyez au-dessus ? On a deux choses à vous dire. D'abord, l'Andromaque fait partie des positions sexuelles préférées des hommes (et des femmes). Ensuite, "à toi de lui faire aimer ça, Khaleesi". 

    a position Andromaque je n’y arrive pas, je fatigue !  

    Problème : vous n'y arrivez pas. Rassurez-vous, vous n'êtes pas seule à avoir soulevé les "soucis" qui accompagnent cette position sexuelle. En voici une liste non exhaustive : 

    - Le pénis qui sort et qui ressort à sa guise, coupant votre élan (et votre assurance) ; 

    - Les crampes aux jambes qui surviennent après 36 misérables secondes (et encore !) ; 

    - La peur de lui faire mal, surtout après les crampes, quand vous cédez et vous asseyez littéralement sur son précieux pénis (d'autant plus que c'est prouvé, l'Andromaque est une position sexuelle dangereuse) ;

    - La peur de s'y prendre mal, d'être "nulle", de ne pas être "un bon coup"... à bannir bien sûr ! Au risque de vous décevoir, sachez que ces problèmes n'ont pas de solution... car ce ne sont pas des problèmes ! 

    Avoir des crampes aux jambes en Andromaque, c'est normal !

    C'est normal que le pénis file à l'anglaise de temps en temps, car c'est la position qui veut ça. Prenez sa fuite comme une occasion de le rattraper à deux mains et de lui administrer quelques caresses spontanées. Et hop, retour au bercail ! 

    C'est normal d'avoir des crampes aux jambes, à moins d'inventer une séance de fitness spéciale Andromaque à base de squats et de fentes sautées... Même les plus grandes marathoniennes chancellent quand la ligne d'arrivée se profile à l'horizon.

    C'est normal d'avoir peur de lui faire mal, car la fracture du pénis existe, mais a priori avec un minimum de douceur et d'attention, il n'y a pas de raison que ce moment de plaisir se termine aux urgences ! 

    Quant à la peur de ne pas être à la hauteur, elle est aussi naturelle qu'infondée : elle tient aux normes sexuelles qui veulent que chaque femme soit une bombe ultra performante. Mais ce ne sont que des normes. En vrai, le sexe, c'est maladroit. Et c'est bien mieux comme ça.  

    Comment faire quand la femme est au dessus ? Les mouvements de l'Andromaque 

    Vous vous doutez qu'avec la phrase qui précède, on ne risque pas de vous faire une leçon d'Andromaque. Il n'y a pas de règles au lit (à part celle du consentement, qu'on ne présente plus). 

    Le but de l'Andromaque, c'est de vous faire plaisir. Si vous aimez la lenteur, faites-en l'éloge ! Si vous voulez allez plus vite, accélérez la cadence. 

    Sachez par ailleurs qu'effectuer un mouvement avant-arrière avec votre bassin est le meilleur moyen d'atteindre l'orgasme facilement, car cela exerce une bonne pression sur le clitoris. 

    Le bon twist ? Agrémenter le mouvement avant-arrière d'un mouvement circulaire, pour changer de rythme et stimuler le clitoris puissance 10. 

    Un mouvement haut-bas est possible aussi (mais gare au mal de jambes). D'ailleurs, quand le mal de jambes survient, comptez sur le soutien de votre partenaire, qui peut accompagner la cadence. En bref, pensez à vous et discutez avec lui pour savoir ce qu'il aime aussi. Car l'amour, ça se fait à deux (ou trois, ou plus encore, mais ce n'est pas le sujet). 

    PS : Les acrobates peuvent s'essayer à l'Andromaque à l'envers, la fameuse position de la balançoire. Chiche de changer de sens sans stopper la pénétration ? (La vie est un éternel challenge.)

     

    C'EST Quoi Andromaque?

     

     


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    • Lâcher Prise, ce n'est pas se montrer indifférent 
      mais simplement admettre que l'on ne peut agir à la place de quelqu'un d'autre.
    • Lâcher prise, ce n'est pas couper les liens 
      mais prendre conscience qu'il ne doit pas y avoir contrôle d'autrui. 
    • Lâcher prise, ce n'est pas être passif, 
      mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un évènement. 
    • Lâcher prise, c'est reconnaître ses limites, 
      c'est à dire que le résultat final n'est pas entre nos mains. 
    • Lâcher prise, ce n'est pas blâmer ou vouloir changer autrui, 
      mais donner le meilleur de soi-même. 
    • Lâcher prise, ce n'est pas prendre soin des autres 
      mais se sentir concerne par eux. 
    • Lâcher prise, ce n'est pas "assister" 
      mais encourager. 
    • Lâcher prise, ce n'est pas juger, 
      mais accorder à autrui le droit d'Etre avec toutes ses imperfections comme champ d'expériences.
    • Lâcher prise, ce n'est pas s'occuper de tout ce qui arrive, 
      mais laisser les autres gérer leur propre destin, source d'éveil. 
    • Lâcher prise, ce n'est pas materner les autres, 
      mais leur permettre d'affronter la réalité.
    • Lâcher prise, ce n'est pas rejeter, 
      c'est au contraire accepter. 
    • Lâcher prise, ce n'est pas harceler, sermonner ou gronder 
      mais tenter de déceler ses propres faiblesses et de s'en défaire. 
    • Lâcher prise, ce n'est pas adapter les choses à ses propres désirs, 
      mais prendre chaque jour comme il vient et l'apprécier sans oublier de s'aider soi-même.
    • Lâcher prise, ce n'est pas critiquer ou corriger autrui, 
      mais s'efforcer de devenir ce que l'on rêve de devenir. 
    • Lâcher prise, ce n'est pas regretter le passé, 
      mais vivre et grandir pour l'avenir dans l'ici et maintenant. 
    • Lâcher prise, c'est craindre de moins en moins 
      pour aimer de plus en plus.

    auteur les passeurs 


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    je suis le magicien des peurs    

     

    Il était une fois le Magicien des Peurs

     

    Il était une fois, une seule fois, dans un des pays de notre monde, un homme que tous appelaient le Magicien des Peurs.Ce qu'il faut savoir, avant d'en dire plus, c'est que toutes les femmes, tous les hommes et tous les enfants de ce pays étaient habités par des peurs innombrables.
    Peurs très anciennes, venues du fond de l'humanité, quand les hommes ne connaissaient pas encore le rire, l'abandon, la confiance et l'amour.Peurs plus récentes, issues de l'enfance de chacun, quand l'innocence d'un regard, l'étonnement d'une parole, l'émerveillement d'un geste ou l'épuisement d'un sourire se heurtent à l'incompréhensible de la réalité.Ce qui est sûr, c'est que chacun, dès qu'il entendait parler du Magicien des Peurs, n'hésitait pas à entreprendre un long voyage pour le rencontrer. Espérant ainsi pouvoir faire disparaître et supprimer les peurs qu'il ou elle portait dans son corps, dans sa tête ou qui simplement accompagnaient sa vie.Nul ne savait comment se déroulait la rencontre. Il y avait chez ceux qui revenaient du voyage beaucoup de pudeur à partager ce qu'ils avaient vécu. Ce qui est certain, c'est que le voyage du retour était toujours plus long que celui de l'aller.

     Un jour, un enfant révéla le secret du Magicien des Peurs. Mais ce qu'il en dit parut si simple, si incroyablement simple que personne ne le crut.
    "Il est venu vers moi, raconta-t-il, m'a pris les deux mains dans les siennes et m'a chuchoté:
    - Derrière chaque peur, il y a un désir. Il y a toujours un désir sous chaque peur aussi petite ou aussi terrifiante soit-elle! Il y a toujours un désir, sache-le.
    Il avait sa bouche tout près de mon oreille et il sentait le pain d'épice, confirma l'enfant.
    Il m'a dit aussi:
    - Nous passons notre vie a cacher nos désirs, c'est pour cela qu'il y a tant de peurs dans le monde.
    Mon unique travail, et mon seul secret, c'est de permettre à chacun d'oser retrouver, d'oser entendre et d'oser respecter le désir qu'il y a en lui sous chacune de ses peurs."L'enfant, en racontant tout cela, sentait bien que personne ne le croyait. Et il se mit à douter à nouveau de ses propres désirs.
    Ce ne fut que bien des années plus tard qu'il retrouva la liberté de les entendre, de les accepter en lui, mais ceci est déjà une autre histoire.Cependant, un jour, un homme décida de mettre le Magicien des Peurs en difficulté.Oui, il voulait lui faire vivre un échec. Il fit le voyage, vint auprès du Magicien des Peurs avec une peur qu'il énonça ainsi:
    - J'ai peur de mes désirs!Le Magicien des Peurs lui demanda:
    - Peux-tu me dire le désir le plus terrifiant qu'il y a en toi?
    - J'ai le désir de ne jamais mourir, murmura l'homme.
    - En effet, c'est un désir terrible et fantastique que tu as là.

     Puis, après un long silence, le Magicien des Peurs suggéra:
    - Et quelle est la peur qu'il y a en toi, derrière ce désir?
    Car derrière chaque désir, il y a aussi une peur qui s'abrite et parfois même plusieurs peurs.
    L'homme dit d'un seul trait:
    - J'ai peur de ne pas avoir le temps de vivre toute ma vie.
    - Et quel est le désir de cette peur?
    - Je voudrais vivre chaque instant de ma vie de la façon la plus intense, la plus vivante, la plus joyeuse, sans rien gaspiller.
    - Voilà donc ton désir le plus redoutable, murmura le Magicien des Peurs.
    Ecoute-moi bien. Prends soin de ce désir, c'est un désir précieux, unique. Vivre chaque instant de sa vie de la façon la plus intense, la plus vivante, la plus joyeuse... sans rien gaspiller, c'est un très beau désir. Si tu respectes ce désir, si tu lui fais une place réelle en toi, tu ne craindras plus de mourir. Va, tu peux rentrer chez toi.

     

    Mais vous qui me lisez, qui m'écoutez peut-être, vous allez tout de suite me dire:
    - Alors, chacun d'entre nous peut devenir le magicien de ses peurs!
    - Bien sûr, c'est possible, si chacun s'emploie à découvrir le désir qu'il y a en lui, sous chacune de ses peurs! Oui, chacun de nous peut oser découvrir, dire ou proposer ses désirs. A la seule condition d'accepter que tous les désirs ne soient pas comblés. Chacun doit apprendre la différence entre un désir et sa réalisation...
    - Alors, tous les désirs ne peuvent se réaliser, même si on le désire?
    - Non, tous les désirs ne peuvent se réaliser, seulement certains. Et nul ne sait à l'avance lequel de ses désirs sera seulement entendu, lequel sera comblé, lequel sera rejeté, lequel sera agrandi jusqu'aux rires des étoiles!
    C'est cela, le grand secret de la vie. D'être imprévisible, jamais asservie et, en même temps, immensément ouverte et généreuse face aux désirs des humains. Car il y a des désirs qui ont besoin de rester à l'état de désir, pour s'accomplir pleinement.

     

    Des rumeurs disent que le Magicien des Peurs pourrait passer un jour dans notre pays...

     

    Jacques Salomé

     

     


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    La victime se met en mode de deuil avec la croyance d’être une victime.

    Le rôle de victime se joue dans l’égo vis-à-vis d’une situation de mort, divorce, séparation, licenciement, ou de contrariété sur ces croyances, reconnaissances ou le réveille de vieille blessure non résolu  par une action extérieur etc… mais jamais la victime n’accepte sa part de responsabilité d’avoir créé cette situation  elle-même ; c’est pour cela qu’elle se sent victime et ne le comprend pas.

    Elle va passer par 5 étapes dans ses croyances de victime :

    Étape 1……………………………………… le  déni de ce qu’il lui arrive, la personne ne veux pas croire ce qu’elle entend ou voit puis quelle  ne c’est pas que s’est -elle qui crée ces situations donc les refuses .

    Étape  2………………………………………   La colère  quand le rôle de victime ne fonctionne pas par apport à une situation, la victime  ramenez à son impuissance d’incontrôlé sur elle et sur l’autre ou sur la situation en générale, car elle confond  le contrôle de sa vie et la maitrise de sa vie.

    Étape 3………………………………………    le marchandage c’est la transformation de ses colères et frustrations en compensation pour récupérer quelque chose, car elle ou il croit être toujours une victime et donc compense le manque par une compensation extérieur ex : Service Argent = la justice etc….

    Étape 4………………………………………    la dépression  et la pour accentuer la pitié sur l’autre et la manipulions  ,ce qui lui fait  perdre le contrôle d’e lui ou elle-même ou ce que la situation lui fait vivre, cela est une crise de l'ego car c’est l’échec de la manipulation et des croyances du rôle de victime qui ne fonctionne pas non plus.

    Étape 5……………………………………       l’acceptation en tant que victime et donc de la résignation qui l’amène à subir et non pas une vraie acceptation inconditionnelle de sa situation qui serais  la en tant que libération de sa situation qu’elle a elle-même créé.

     

    Dans les 5 cas, la victime 

    Cherche à punir ou se punir pour se guérir car elle est dans la désillusion de cet trompé  ou d’avoir été trompé et  de l'illusion qu’elle s’était faite elle-même de cette situations où elle constate à  se retrouver confronté par rapport à ses croyances erronées.

    La guérison  passe toujours par 3 gros moteurs : c’est l’acceptation,  lâcher prise et l’abandon sans condition donc inconditionnel et universel = le don de soi, sans attente de retour,  le vrai don vient du ressenti du cœur donc de l’intérieur  .Il  y a la responsabilité d’avoir créé les situations que la personne à attirer a elle a en tire ces propre conclusion  .cette personne par ces propres traumas et croyances  ne vienne jamais de  l’intérieur il vienne du mental analytique qui cherche à avoir raison sur sa victimisation en mettent toujours des raisons extérieur a soi .   

    Tant que la victime s’identifie a son rôle de victime elle est prisonnière de se rôle donc il faut qu’elle se répète je ne suis  pas la victime de t’elle ou t’elle chose. Pour comprendre ce qui viens d’être dit sur les 5 étapes  il  faut travail la notion d’ego, la comprendre et sur tout avoir à l’esprit  et la conscience ouverte

    Contrôle= toutes les choses qui vienne de l’extérieur

    Maitrise= toutes chose qui vienne de l’intérieur

    Amour = intention est non une fausse réalité de bisounours

    La compréhension  sans conscience n’est que ruine de l’âme

     


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