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    Les pratiques sexuelles et amoureuses ne sont évidemment pas les mêmes selon que l'on se situe en Amérique, en Asie, en Afrique ou encore en Europe. Petit tour du monde des rites sexuels par notre experte Sophie Bramly. 

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    Nos rapports sexuels sont secrets, ils n’appartiennent qu’à nous.
    Pourtant nous ne cessons de vouloir connaître les
    normes en la matière, et manifestons, à divers degrés, une curiosité insatiable sur la sexualité des autres. Ce besoin normatif nous permet de nous rattacher au groupe culturel ou religieux auquel nous appartenons, tout comme les rites sexuels, qui sont partout.
    Certains sont de nature, car ils sont nécessaires à la reproduction, comme les parades de
    séduction, qui permettent aux couples de se former, au moins le temps nécessaire de la reproduction.
    D’autres sont culturels. L’anthropologue Bronislaw Malinowski affirmait que la sexualité  « domine dans les faits presque tous les aspects de la culture ».

    On se contentera ici d’un rapide éventail de quelques rites, qu’ils aient nos faveurs en Occident, ou qu’ils aient d’autres saveurs lorsqu’ils nous sont étrangers : au Brésil le fazendo todo permet aux jeunes brésiliens –garçons et filles – de tout essayer ; dans les îles Carolines, les jeunes hommes soulèvent la nuit les jupes des filles endormies et les sélectionnent en fonction de la beauté de leurs
    grandes et petites lèvres, et une fois en couple, ils frappent leurs pénis contre le clitoris de leur partenaire et atteignent ensemble l’orgasme. Au Rwanda, on agrandissait les petites lèvres de la femme pour qu’elle ait plus de plaisir, comme on pratiquait le Kunyaza, qui consiste à ce que le partenaire rentre le bout de son pénis dans le vagin et fasse des mouvements verticaux et horizontaux, sans oublier le clitoris, pour permettre à la femme de lubrifier plus et plus vite et d’atteindre l’orgasme en moins de cinq minutes. La liste des rites et pratiques est longue et elles sont la base, le ciment des cultures et des civilisations.

    Ce sont ces rites qui structurent et rattachent les individus aux groupes sociaux. Ils permettent également aux adolescents de quitter le monde « asexué » qui est le leur, et de pénétrer dans celui, sexué, des adultes. Certaines cérémonies de mariage autorisaient autrefois les compagnons du marié quelques libertés avec la jeune épousée, et les blagues grivoises, qu’on peut entendre racontées de nos jours par les témoins du marié, en sont des émanations directes.

    Si les rites sexuels ont une fonction sociale, ils ont, au sein du couple, des fonctions tout aussi essentielles, qui permettent de transformer l’acte, et soit le magnifier, soit  au contraire transformer le rite en monotonie : faire l’amour uniquement  le matin ou le soir, pratiquer toujours la même position, se mettre toujours aux mêmes endroits, sont des rites qui peuvent, petit à petit, éteindre la flamme.

    Lorsque, au contraire, la relation est magnifiée par les rites spécifiques au couple, elle peut transcender la relation et magnifier l’orgasme, voire dans certains cas y mettre un zeste de sacré. Les rites privés du couple créent un climat propice, le
    couple se met « en condition » : messages, massages, bougies, parfums, odeurs, musiques, rendez-vous dans des lieux tenus secrets, tenues vestimentaires spécifiques, etc. et le corps réagit. On dit souvent « adorer » son partenaire, ce qui signifie littéralement rendre un culte à une divinité. Adorer, c’est aussi avoir envie d’honorer l’autre, lui manifester des intentions particulières, le singulariser, le « narcisser », et dans cette empathie, créer un climat qui peut emmener vers d’autres types de jouissances, qui sont physiques, mais aussi dans le resentie et spirituelles.

    On se retrouve ainsi dans une situation paradoxale, qui pourtant fonctionne : il faut d’un côté que les rites et pratiques sexuelles passent de la sphère privée à la sphère publique, pour assurer en partie la bonne diffusion des normes en vigueur ; et de l’autre, tenir secrètes les pratiques inventées au sein du couple, pour ne pas les affadir à la lumière du grand jour et  souder ainsi les amants dans des extases qui en appellent d’autres, plus profondes encore que les précédentes.
    Mais le jeu n’en vaut-il pas la chandelle ?a vous dit pensée?le monde est pris dans les tabou educatife a nous de changer notre regard et les choses change................
     

    L'orgasme aurait mille vertus. C'est ce que tendent à montrer bon nombre d'ouvrages et études scientifiques, et qu’une vie sans jouissance ne serait que tristesse et souffrances. Le point de vue de notre experte Sophie Bramly. 

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    Au risque d’en agacer certaines, je me permets de faire ici le lien entre un article récemment paru dans le Monde et la publication d’un livre aux Etats-Unis sur l’
    orgasme, énième du genre, mais également remarquablement bien fait : « The Ultimate Guide to Orgasm for Women », de Mikaya Heart.

    Dans le premier, un journaliste s'offusque (et certainement à juste titre) de ce que le Breast Journal (Le journal du Sein, revue scientifique) ait publié un peu hâtivement un article d’un médecin néerlandais, Jerry Stuger, qui trouve comme cause principale des
    cancers du sein la frustration sexuelle.
    Selon Pierre Barthélémy, auteur de l’article du Monde, l’étude décrit : « selon un schéma simpliste, les mécanismes socioculturels menant, selon lui, les femmes à la frustration sexuelle, laquelle dérègle leur production hormonale, ce qui provoque, en fin de course, le cancer du sein (mais curieusement pas celui du col de l'utérus ou de l'ovaire). En fait, ce sont les conventions sociales, plus que les facteurs biologiques, qui, toujours d'après M. Stuger, déclenchent la maladie ». Il cite l’auteur : « Dans la plupart des sociétés occidentales, l'indépendance économique des femmes ne s'est pas améliorée au point que leur choix d'un partenaire stable puisse entièrement se faire en fonction de son attraction sexuelle. Si le
    partenaire sélectionné n'exerce pas ou que très peu d'attraction sexuelle sur l'autre membre du couple, il est probable qu'une frustration sexuelle finira par s'ensuivre, ce qui causera à terme le cancer du sein chez certaines femmes. »

    Dans le second, l’auteure cite un grand nombre de chercheuses américaines qui seraient toutes arrivées à la même conclusion : l’orgasme a un effet analgésique sur la douleur. Certaines comme Gina Ogden, racontent des expériences ou des femmes n’enregistrent aucune douleur à des stimulations, là où quelques minutes auparavant la douleur semblait insupportable. Alan et Donna Brauer racontent leurs études de cas autour de groupes de femmes arthritiques, qui seraient soulagées de leurs douleurs récurrentes durant les 30 minutes qui suivent l’
    orgasme. D’après ces derniers, plus l’orgasme est long, plus il permet de venir à bout de maux de tête, nuque, dos, de douleurs menstruelles, intestinales, d’asthme et bronchite, de dépressions, fatigues, anxiété, insomnies, … On rejoint sans doute en partie les techniques de peau à peau, pour sauver les bébés prématurés lorsqu’il n’y a pas de couveuse et pallier à leurs carences affectives.

    Pour Cécile Cortet-Pham,
    masseuse-kinésithérapeute, « La naissance est une mort à un état pour pouvoir renaître à un autre état ». Peut-on faire le lien entre cette « mort » de la vie aquatique, annihilée par le contact avec la mère, et la « petite mort » ? Il me semble que oui. L’amour ou lintention?sans orgasme apporte un réel bénéfice, une forme d’apaisement, à échanger avec plaisir des caresses avec l’autre, à se fondre l’un dans l’autre dans des chaleurs mutuelles. Avec l’orgasme, on parle volontiers d’extases, d’expériences cosmiques, d’énergies incroyablement puissantes et régénératrices. Citant une fois de plus les travaux de la biologiste Lucy Vincent sur l’ocytocine, « molécule du bonheur », qui déclenche les spasmes de l’utérus pour permettre la sortie du bébé, créer l’attachement de la mère à l’enfant, et déclenche encore le spasme de l’orgasme, on peut sans doute imaginer que d’autres effets bienfaiteurs sont également possibles.

    Mais la puissance du contact, du lien à l’autre et les bénéfices indéniables du plaisir ne permettent pas de conclure qu’il y aurait d’un côté ceux et celles qui souffrent de privations sexuelles en risquant la maladie, et de l’autre, ceux et celles qui jouissent, qui seraient protégés de troubles physiques. Cependant, il est toujours opportun de se souvenir que le lien charnel, et la
    jouissance qu’il procure, sont sources de plus d’apaisements qu’il n’y paraît au quotidien. Alors à médité ???????????? Atanor.

     


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    Les 7 lois fondamentales qui régissent l’univers

     

    Parmi ces lois, on compte d’abord«la loi de l’Esprit» ou «du Mentalisme».  Elle stipule que le Tout est Esprit et que l’Univers est un Système mental, dans lequel tout est spirituel.  L’Esprit créateur, qui détient tous les attributs à l’infini, donc sans restrictions ni limites, est la Source de la Vie.  L’Esprit (qu’on peut appeler le Mental cosmique ou l’Intelligence suprême) préside au-delà de la Matière qu’il régit d’autorité, de façon absolue.  Dans ce système universel, la Conscience détermine l’Être.  Les pensées détiennent un pouvoir créatif, selon leur intensité et leur précision, et elles servent de moyen de création.  Mais c’est la pensée engendrée par l’imagination, qui recourt à la visualisation, qui crée.  L’intensité du désir et du souhait constitue un facteur important de la Manifestation.  Comme l’Action de la Pensée de Dieu crée, ainsi crée l’imagination de l’être humain, puisqu’il a été créé à son image et à sa ressemblance.  Et comme la Verbe de Dieu crée, ainsi crée la parole des êtres humains.  En fait, comme le Créateur universel, l’être humain crée consciemment ou inconsciemment par ses pensées, ses paroles, ses ressentis et ses actes.  De ce fait, tout homme peut s’extraire de son état apparent d’ignorance et accéder, en tout temps, à l’état de connaissance de la vie.  Mais, pour y parvenir, il doit accepter son Héritage de Perfection et son Pouvoir de Création.  C’est ainsi qu’il peut changer son monde et le renouveler.

     

     

     

    En deuxième lieu, on retrouve «la loi des Correspondances» ou «des Analogies»Elle stipule que Tout est en haut comme en bas, et inversement.  Tout est à l’intérieur comme à l’extérieur et inversement.  Il en est ainsi dans le Grand (le Macrocosme) comme dans le Petit (le Microcosme) et inversement.  Parce que, pour tout ce qui existe en ce monde, il existe une réplique analogique sur tous les plans de l’Être ou de la Conscience cosmique.  De ce fait, c’est ainsi qu’un être peut réaliser que le grand existe dans le petit et inversement.  Tel il est, tel est son expérience dans le monde extérieur.  À l’inverse, par inversion, le monde extérieur sert de miroir au monde intérieur.  Ainsi, ce qu’il change en lui, il le change partout autour de lui.

     

    En troisième lieu, il faut étudier «la loi de la Résonance» ou «de l’Attraction».  Elle exprime que le pareil attire le pareil, car les semblables s’attirent tandis que les dissemblables se repoussent.  La conduite personnelle d’un être détermine sa condition personnelle et toutes les conditions de sa vie.  La positivité attire plus de positivité et elle rend créatif, constructif, ingénieux, inventif : la lumière attire la lumière;  l’amour attire l’amour;  la tendresse attire la tendresse;  le bienfait attire le bienfait;  la joie attire plus de joie.  Mais la négativité attire davantage de négativité : le sombre attire le sombre;  l’agression attire l’agression;  la haine attire la haine;  le chagrin attire le chagrin;  la dépendance attire la dépendance.  Tout ce qu’un être n’arrête pas continue de se répéter ou de se reproduire.  Ainsi, il gagne à augmenter ce qui l’avantage et le sert, mais à éliminer ce qui le désavantage et le dessert.  Le bien induit dans une spirale qui élève sans fin, tout s’y multipliant au centuple;  le mal induit dans une spirale qui abaisse sans fin, tout s’y détruisant par soi-même.  La spirale du bien mène à l’Illumination suprême, à la Maîtrise totale ou à la Vie éternelle;  celle du mal, au malaise, à la maladie, à la dépression, au désespoir, au désastre, à la mort et à la réincarnation.

     

     

    En quatrième lieu, il faut mentionner «la loi de l’Harmonie», «de l’Équilibre» ou «du Juste Milieu».  En fait, l’harmonie résulte de l’équilibre et elle décrit le flot même de la Vie, tel qu’il s’exprime naturellement.  Tout aspire à l’équilibre pour maintenir l’ordre et entretenir l’harmonie.  Le plus grand ou le plus fort détermine le plus petit ou le plus faible;  le plus grand ou le plus fort élève le plus petit ou le plus faible à son niveau par le partage de sa grandeur ou de sa force.  La vie constitue un ensemble harmonieux où, de part tout l’Univers, s’opèrent sans cesse le don et le Redon des éléments et des pouvoirs qui animent la Création.  Celui qui cherche uniquement à prendre et à retenir pour accumuler finit par engendrer des blocages.  Et ces blocages engendrent des malaises qui peuvent conduire à la maladie et à la mort.  La vie ne tolère que ce qui favorise la vie.  Tout ce qui produit un blocage doit disparaître pour faire place à la vie.  La vie résulte du Mouvement éternel qui, par le jeu mutuel des forces, entretient l’équilibre par la compensation.  Les effets différents tendent à s’équilibrer pour ramener au plus vite l’harmonie.  Dans la vie, il faut savoir prendre et donner, prendre autant qu’on donne et donner autant qu’on prend.  C’est par l’échange et le partage de l’énergie que la vie s’entretient.  Ce qui cesse de circuler se corrompt et se détruit par implosion.  L’Univers et l’Omnivers se maintiennent par une dynamique incessante d’échanges équilibrés qui s’accomplissent dans l’aisance, la douceur, l’harmonie, la grâce, la beauté et l’amour.  Le don et l’accueil constituent les deux aspects apparemment opposés du Courant de l’Énergie cosmique.  Ainsi, ce n’est qu’en donnant librement et généreusement ce qu’un être cherche qu’il l’obtient en abondance, car ce qu’il donne à autrui, il se le donne.  Ainsi, il réalise qu’il porte tout en lui.  Qui sème l’harmonie récolte l’harmonie;  qui donne la paix reçoit la paix en retour;  qui exprime l’amour, s’attire l’amour.  Qui donne généreusement, sans attente, s’attire la vitalité ou la santé, l’abondance, le succès et la grâce.  Chacun reçoit autant de la Plénitude de la Vie qu’il s’ouvre à en recevoir.  Et un être s’ouvre dans la mesure où il élimine de sa conscience les pensées de besoin, de manque, de pénurie et de limite et qu’il se lance dans la nouveauté et l’illimité.  Qui ne ressent pas la Plénitude en lui-même ne la découvrira jamais à l’extérieur de lui-même.  Nul ne peut s’enrichir en prenant chez les autres et en l’exploitant.  Chacun doit payer le prix de ce qu’il désire, à moins que cela lui soit offert autrement.  Qui veut recevoir doit savoir donner en comptant sur la grâce de Dieu.

     

     

    En cinquième lieu, on doit traiter de «la loi du Rythme», «de la Vibration» ou «des Cycles».  Cette loi enseigne que rien n’est statique puisque tout bouge ou vibre.  Tout circule en dedans comme au dehors.  Tout passe de l’intérieur vers l’extérieur.  Tout atteint son zénith ou son nadir;  tout comprend un flux et un reflux;  tout ce qui monte descend et tout ce qui descend doit remonter;  tout s’élève puis s’abaisse.  Tout suit un mouvement de balancier dans lequel l’écartement du mouvement vers la droite est conditionné par le celui du mouvement vers la gauche et inversement.  Et ce mouvement est perceptible en tout.   Le rythme compense tout et égalise tout.  Tout circule : tout ce qui entre doit sortir et ce qui sort, entrer.  Rien n’est jamais au total repos.  De ce fait, il faut prendre garde à la rigidité sous toutes ses formes, privilégiant la souplesse et la flexibilité, car ce qui plie de bonne grâce ne rompt pas. 

     

    En sixième lieu, on reconnaît «la loi de la Causalité», «de la Justice immanente», «du Juste Retour», «de la Semence et de la Récolte», «de Compensation» ou «de Rétribution».  Elle évoque le fait que toute cause engendre un effet identique et que toute action provoque une réaction équivalente.  À l’inverse, tout effet provient d’une cause et toute réaction, d’une action.  Ce n’est donc qu’en opérant au niveau de la cause qu’on change l’effet ou au niveau de l’action, qu’on change la réaction.  Dans ce contexte, la chance, la fortune, le sort, le hasard ne peuvent être que des mots vides de sens : ils identifient l’expression d’une ou de plusieurs lois qu’on n’a pas pu reconnaître.  De même pour le miracle ou le prodige : ils réfèrent à une application consciente ou inconsciente d’une ou de plusieurs lois, notamment de celles de la Demande et de la Foi.  Sinon, le Système divin serait fondé sur le favoritisme et le privilège.  Sauf que la Causalité agit sur nombre de plans et que rien ne peut lui échapper.  Elle exprime à la fois l’incidence de la Justice immanente et de la Providence divine (l’Approvisionnement universel).  Toute action comporte un certain degré d’énergie qui impose qu’une énergie identique retourne à sa source ou à son créateur.  Elle fait que le pareil attire le pareil, que le semblable attire le semblable, que le similaire attire le similaire.  Tout part d’un point pour y revenir.  Tout effet égale toujours la cause en qualité, en quantité et en intensité.  Compensation, rétribution, juste retour, effet de boomerang, choc en retour.  À l’intérieur du Plan cosmique, tout être humain est le créateur de son être, de son univers et de son destin.  Tout ce qu’il dit, pense, ressent et fait, consciemment ou inconsciemment, lui revient de la même manière, au moment opportun, le mal se détruisant par lui-même et le bien se multipliant au centuple.  Tout cela ne vise jamais à le punir, mais à l’instruire, soit à lui faire comprendre l’incidence de l’Énergie divine conformément au jeu des Lois cosmiques et pour lui révéler le sens de l’Évolution universelle.  Parfois, selon la force d’impact de son action et les entités impliquées, entre le moment de l’agir et celui du retour, il peut exister des siècles et de nombreuses incarnations entre le moment de l’agir et celui du juste retour.

     

    En septième lieu, on rencontre «la loi de la Dualité», «de la Polarisation», «des Opposés apparents», qui impliquent à divers degré celle «des Genres» ou «de la Sexualité»Au plan de la Création, tout est double ou bipolaire.  Tout comporte sa paire d’opposés.  Le pareil et le dissemblable participent à la même réalité unique.  Les opposés sont identiques en nature, mais différents en degré.  Les extrêmes se rencontrent ou fusionnent.  Toute vérité représente une demi-vérité.  Tous les paradoxes se concilient et se réconcilient.  Toute chose et tout être portent un genre, puisque tout découle des Principes masculin et féminin.  Les genres s’expriment sur tous les plans, hors de la Source une et unique.  Un être ne peut échapper à une loi inférieure que par l’application d’une loi supérieure, bien qu’il ne puisse jamais échapper à la Loi divine ou s’élever entièrement au-dessus d’elle.  Seul le Tout échappe à la Loi unique par sa transcendance, bien que, dans sa Manifestation, il lui reste soumis.  Dieu représente la Loi unique dont toutes les autres Lois cosmiques émergent.  Toute réalité présente deux pôles et toute chose offre une paire d’effets contrastants.  Le pareil et le dissemblable reviennent au même.  Les contrastes ou les opposés ne sont qu’apparents puisqu’ils sont pareils de par leur nature.  Seule la Vérité de Dieu est une.  L’apparence résulte d’une variation de la fréquence vibratoire.  Puisque son cerveau polarisé participe à la troisième dimension –où les contrastes semblent exister, bien qu’ils soient illusoires– l’être humain considère l’Unité, l’Unicité et l’Identité comme des paradoxes.  Pourtant, tous les éléments paradoxaux se résolvent lorsqu’on sait les ramener au milieu, où tout fusionne.  Du reste, c’est la seule manière d’approcher de la Vérité.  Il n’y a que dans l’Unité du Juste Milieu que la Vérité prend tout son sens.  Ailleurs, elle devient une portion de la Vérité.  L’être humain ne peut pas comprendre la Vérité par le mental, il ne peut la saisir que par le cœur.  Mais, pour échapper à la troisième dimension, il doit commencer par reconnaître l’Unité de l’Être et de toutes choses, le multiple ne représentant que la somme des aspects de l’Être-Un indivisible.  Cette réalité s’approche par l’expression de l’amour inconditionnel, ce qui revient à dire qu’il faut vivre l’amour.  Car dans l’amour inconditionnel et impersonnel, un être s’élève au-delà des aspects de la Polarité.  Cet amour gracieux appelle à refuser de juger et d’évaluer les autres à partir des critères personnels limités;  à éviter de tenter de s’élever au-dessus d’autrui;  à accepter le point de vue des autres;  à reconnaître que chacun a raison dans son expérience personnelle;  à saisir que personne n’a de compte à rendre à qui que ce soit;  à réaliser que personne n’est tenu de se justifier de sa conduite et de ses choix;  à croire que tout est toujours bien.  La sexualité, un corollaire de la Polarité, s’exprime à tous les niveaux et dans toutes choses par les genres.  Les deux aspects de la sexualité fusionnent dans l’Unité.  Tout comprend un élément mâle et un élément femelle.  La sexualité représente la quête ardente de reformer l’Androgyne primordial.  L’Unité sans polarité comprend un aspect masculin et un aspect féminin, comme l’enseigne le Dao (Tao), si on ne sépare pas l’Océan des vagues.  Le masculin n’existe jamais sans le féminin.  Normalement, tout homme détient une âme féminine et toute femme, une âme masculine.  C’est cet élément essentiel qui, dans l’homme et la femme, représente le Prince Charmant ou la Fiancée divine.  Ainsi, chaque être humain est à la fois mâle et femelle et, de ce fait, étant entier, complet, total et parfait en lui-même, il peut espérer reconstituer (i.e. reconnaître ou redécouvrir) son Unité primordiale.  Chacun devrait vivre ses aspects polaires en équilibre pour entrer dans l’harmonie.  Car c’est dans le Juste Milieu que réside le Centre et que se révèle l’Unité.  En effet, dans le Tout, l’être humain «vit, se meut et a son être».  De ce fait, il ne doit pas craindre d’affirmer, avec la «Cabale», qu’il est «maintenu fermement dans l’Esprit infini du Tout».  Le Tout, qui est le Principe unique de l’Ordre, est parfait, omniscient, omniprésent, omnipotent et omniagent.  De ce fait, il constitue la Réalité inévitable et inaltérable que vivent toutes les créatures puisqu’elles trouvent leur être en lui.

     

    Bertrand Duhaime……………………….

     

     


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  • LES RELATIONS HUMAINES

    1.- Besoin de dire mais sans accuser ou juger.  2.- Besoin d’être entendu sans hurler, juste dire ce que vous ressentez. 3.- Besoin d’être reconnu sans l'ego.  4.- Besoin d’être valorisé dans la paix.  5.- Besoin personnel avec ou sans l'autre.  6.- Besoin de créer pour soi.  7.- Besoin de rêver avec ou sans l’autre.

     

     

    SCHEMA  RELATIONNEL

    Lui ou elle a une relation dite de couple : cela est "leur relation". Quelque soit la relation, cela crée une énergie qui crée une trilogie. 

    Mais si vous avez une autre relation et bien celle-ci est "indépendante" et à part de la relation de lui ou d'elle : cette relation n’a pas besoin d’être en relation avec lui ou elle puisqu’elle est indépendante de lui ou d’elle et personnelle de lui ou d’elle : là aussi vous créez avec l’autre  une trilogie indépendante.


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    LE COUPLE

     

     

    Le couple, vibrant, inspirant et qui peut s’appliquer à toute relation qui implique minimum 2 personnes… 

    « Pour réussir à mettre les bases et bâtir une parfaite relation conforme aux plus profonds de nos idéaux, il est essentiel de nous rendre compte des « fautes » typiques (souvent inconsciemment) souvent commises dans une relation de couple habituelle 3D – ou conventionnelle –, qui est vouée dès le début à l’échec. LE COUPLE CONVENTIONNEL TYPE 3D: *Processus fermé :  

    Les motivations du couple ne sont pas définies. Le couple se modèle le plus souvent d’après un modèle standard établi par les autres et non d’après ses propres standards intérieurs. On préfère la sécurité, la stabilité, on évite la transformation, ainsi l’évolution individuelle est très lente. Chacun se force de correspondre à l’image de l’autre sur lui, sans se manifester librement, sans agir comme il sent. *Doute :  

    Le processus fermé produit un manque de confiance en soi et dans l’autre. On devient attaché, dépendant. On a besoin de l’autre pour se mettre en valeur. *Compétition : 

     du genre « ne prends pas ma place ». Il apparaît une lutte de pouvoir (qui commande?) et d’autorité, de conflits de rôles. L’intérêt personnel prime. L’égoïsme est “au pouvoir”. On gruge l’énergie de l’autre ce qui provoque une fatigue chronique – un combat constant entre les deux parties qui lutte incessamment pour obtenir de l’énergie l’un de l’autre. *Dépendance : 

    Rôles fixes. Le protocole des relations extérieures est la source de conflits. Chacun a des points de vue différents qu’il veut imposer à l’autre. On se sent séparé, seul, inaccompli. On a peur d’être quitté. *Conditionnements : 

     La dépendance produit des échanges conditionnés. Les rapports sont dirigés d’après des règles, des contrats, des impositions. La relation est basée sur l’idée d’échange: tu donnes si tu as reçu, les attitudes sont préméditées. Manipulation. On anime la jalousie souvent pour nous démontrer l’amour que l’autre ressent pour nous. Une vengeance s’installe entre les deux parties – Un duel continuel pour s’approprier l’autre… *Ennui :  

    On crée des règles parce que les deux ne s’amusent pas ensemble. On entre dans une routine qui endort la créativité et l’invention. Les ressentiments font leur apparition. Chacun commence à croire que l’autre est la cause de son malheur et que pour cela il doit l’éviter. *Insécurité : 

     Ils ont l’impression que “quelque chose ne va pas”, sans savoir exactement de quoi il s’agit, ils ont des sentiments de peur ; instabilité, culpabilité. Ils veulent fonder une famille dans l’espoir de trouver une solution à l’impasse et obtenir plus de stabilité. Ils recherchent des liens matériels ou extérieurs à eux-mêmes pour solidifier leur relation basée sur le superficiel. Un vide intérieur s’installe silencieusement. *Impression d’échec du couple : 

     L’impuissance de changer le cours des choses. Dévalorisation personnelle et de l’autre. Des ressentiments puissants apparaissent, ils peuvent même conduire à des déséquilibres psychiques. Désespoir. Ils ont le sentiment qu’il n’y a plus rien à faire. Ils n’entrevoient plus de voie pour ramener l’harmonie du couple. *Séparation :  

    La seule solution qui apparaisse est la séparation, le divorce.Ils vivent le désespoir et le sentiment aigu de la solitude, qui peut être pourtant l’occasion d’une transformation, d’une découverte possible de l’autonomie et de la liberté. 


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